Ce mardi 4 février, les FDF organisaient une soirée d’information à destination des habitants de la périphérie. Le but? Leur présenter les candidats aux élections et leur expliquer en quoi ils peuvent nous faire confiance concernant la défense de leurs droits.
A mon arrivée, une dizaine d’activistes du TAK, ce groupuscule extrémiste flamingant. Venus nous intimider à coups de slogans racistes et de pétards, ceux-ci ont décidément été contre-productifs puisqu’ils ont démontré, une fois de plus, la virulence anti-démocratique du nationalisme flamand.
Ils m’ont également conforté dans l’idée que quand bien même les problèmes communautaires peuvent lasser, il y a des injustices très concrètes, peu importe la Région où l’on réside, dont on ne peut faire fi, comme des droits fondamentaux à préserver: le droit de choisir son école, sa crèche, son club sportif, ses élus locaux, l’accès au logement, etc sans devoir tomber sous le coup systématique de mesures discriminatoires.
Bref, je suis plus motivée que jamais !