Sauf que les circonstances de la vie ne leur permettent pas toujours de réaliser ce projet avant 35 ans, pour des raisons liées à leur carrière, à leur situation financière ou à leur situation amoureuse.
Or, dès l’âge de 35 ans, le nombre d’ovules et leur qualité commencent à diminuer.
Cette réalité constitue une source de stress énorme pour les femmes concernées!
L’objectif est de prélever des ovocytes pour pouvoir les congeler en vue d’une FIV le jour où l’on souhaite devenir maman, sans que sa fertilité ne soit altérée par son âge.
Problème: cette procédure est très couteuse: les consultations gynécologiques, psychologiques, les prise de sang, les échographies, les injections d’hormones, l’opération, ou encore les frais de congélation représentent plusieurs milliers d’euros!
Je mène donc un combat au Parlement pour que le gouvernement informe mieux les femmes de cette possibilité de congeler ses ovocytes, mais aussi élargisse les conditions de son remboursement.
Car si ce remboursement sera désormais également prévu pour les femmes qui souffrent d’endométriose ou de kystes ovariens ET qui nécessitent un traitement chirurgical impactant leur fertilité, ces critères restent trop restrictifs!
Il faut également tenir compte de celles qui ne doivent pas être opérées mais aussi qui pourraient souffrir de ménopause précoce!